« La vérité vous rendra libres » (Jn 8, 32), Fake news et journalisme de paix
Date de publication: 09/05/20184570 Vues Publié par : NIBITANGA Michel
Message du Saint-Père pour la 52ème Journée Mondiale des Communications Sociales le 13 mai 2018


Chers frères et soeurs, 
Dans le dessein de Dieu, la communication humaine est un moyen essentiel de vivre la communion. L'être humain, image et ressemblance du Créateur, est capable d'exprimer et de partager le vrai, le bien, le beau. Il est capable de raconter sa propre expérience et le monde, et de construire ainsi la mémoire et la compréhension des événements. Mais l'homme, s'il suit son propre égoïsme orgueilleux, peut faire un usage déformé de la faculté de communiquer, comme l'illustrent dès l'origine les épisodes bibliques de Caïn et Abel et de la tour de Babel (cf. Gn 4,1-16; 11,1-9). 

La manipulation de la vérité est le symptôme typique d'unetelle distorsion, tant au niveau individuel que collectif. Au contraire, dans la fidélité à la logique de Dieu, la communication devient un lieu d'expression de sa propre responsabilité dans la recherche de la vérité et dans la réalisation du bien.  Aujourd'hui, dans un contexte de communication toujours plus rapide et au sein d'un système numérique, nous voyons le phénomène des «fausses nouvelles», les soi-disant fake news: cela nous invite à réfléchir et m'a suggéré de consacrer ce message au thème de la vérité, comme l'ont déjà fait plusieurs fois mes prédécesseurs depuis Paul VI (cf. Message 1972: «Les communications sociales au service de la vérité»).  

Je voudrais ainsi contribuer à l'engagement commun pour prévenir la diffusion de fausses nouvelles et pour redécouvrir la valeur de la profession journalistique et la responsabilité personnelle de chacun dans la communication de la vérité. 
























1. QU'EST-CE QUI EST FAUX DANS LES "FAUSSES NOUVELLES"? 

Fake news est un terme discuté et qui fait l'objet de débat.Il s'agit généralement de la désinformation diffusée en ligne ou dans les médias traditionnels. Cette expression fait référence à des informations non fondées,basées sur des données inexistantes ou déformées et visant à tromper voire à manipuler le lecteur. Leur propagation peut répondre à des objectifs fixés,influencer les choix politiques et favoriser des gains économiques. 

L'efficacité des fake news est due principalement à leur nature mimétique, à la capacité d'apparaître plausibles. En second lieu, ces nouvelles, fausses mais vraisemblables sont fallacieuses, dans leur habilité à focaliser l'attention des destinataires, en se fondant sur des stéréotypes et des préjugés diffus dans un tissu social, en exploitant les émotions immédiates et faciles à susciter, comme la peur, le mépris, la colère et la frustration. Leur diffusion peut compter sur une utilisation manipulatrice des réseaux sociaux et des logiques qui en garantissent le fonctionnement: ainsi les contenus, bien que non étayés, gagnent une telle visibilité que même les dénégations de sources fiables peinent à en limiter les dégâts. 

La difficulté de dévoiler et d'éradiquer les fake news ou fausses nouvelles est également due au fait que les gens interagissent souvent dans des environnements numériques homogènes et imperméables à des perspectives et opinions divergentes. La conséquence de cette logique de la désinformation est que, au lieu d'avoir une confrontation saine avec d'autres sources d'information, ce qui pourrait mettre positivement en discussion les préjugés et ouvrir à un dialogue constructif, on risque de devenir des acteurs involontaires dans la diffusion d'opinions partisanes et infondées.  

Le drame de la désinformation est la discréditation de l'autre, sa représentation comme ennemi, jusqu'à une diabolisation susceptible d'attiser des conflits. Les fausses nouvelles révèlent ainsi la présence d'attitudes en même temps intolérantes et hypersensibles, avec pour seul résultat le risque d'expansion de l'arrogance et de la haine. En fin de compte,cela mène au mensonge. 

2. COMMENT POUVONS-NOUS LES RECONNAÃŽTRE? 

Aucun d'entre nous ne peut être exonéré de la responsabilité de contrecarrer ces faussetés. Ce n'est pas une tâche facile, parce que la désinformation est souvent basée sur des discours variés, délibérément évasifs et subtilement trompeurs, et use parfois de mécanismes raffinés.  

Il convient donc de louer les initiatives éducatives qui permettent d'apprendre à lire et à évaluer le contexte communicatif, enseignant à ne pas être des propagateurs inconscients de la désinformation, mais des acteurs de son dévoilement. Il faut également louer les initiatives institutionnelles et juridiques visant à définir des réglementations pour freiner le phénomène, ainsi que celles entreprises par les sociétés de Technologies et de Média, afin de définir de nouveaux critères pour la vérification des identités personnelles qui se cachent derrière les millions de profils numériques. 

Mais la prévention et l'identification des mécanismes de la désinformation nécessitent également un discernement profond et attentif. Il faut démasquer en effet ce qui pourrait être défini comme "la logique du serpent", capable partout de se dissimuler et de mordre. C'est la stratégie utilisée par le «serpent rusé», dont parle le Livre de la Genèse,celui qui, au commencement de l'humanité, est devenu l'auteur de la première"fake news" (cf. Gn 3,1-15), qui a conduit aux conséquences tragiques du péché, mises en acte ensuite dans le premier fratricide (cf. Gn 4) et dans d'autres formes innombrables du mal contre Dieu, le prochain, la société et la création. 

La stratégie de cet habile "père du mensonge" (Jn8,44) est précisément le mimétisme, une séduction rampante et dangereuse qui fait son chemin dans le coeur de l'homme avec des arguments faux et attrayants.Dans le récit du péché originel, le tentateur, en fait, s'approche de la femme feignant d'être son ami, de s'intéresser à son bien, et commence le discours avec une affirmation vraie, mais seulement partiellement: «Alors, Dieu vous a vraiment dit  : "Vous ne mangerez d'aucun arbre du jardin?"» (Gn 3,1).  

Ce que Dieu avait dit à Adam n'était pas en réalité de ne manger d'aucun arbre, mais seulement d'un arbre : «Mais l'arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n'en mangeras pas » (Gn 2,17). La femme,répondant, l'explique au serpent, mais elle se fait attirer par sa provocation: «Mais, pour le fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit:"Vous n'en mangerez pas, vous n'y toucherez pas, sinon vous mourrez."» (Gn 3,2). Cette réponse sait se faire légaliste et pessimiste: ayant donné crédibilité au faussaire, se laissant séduire par son arrangement des faits, la femme se fait corrompre. 

Ainsi, de prime abord elle prête attention à son assurance: «Vous ne mourrez pas du tout» (v. 4). Puis la déconstruction du tentateur assume une apparence crédible: «Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.» (v. 5).  

Finalement on en vient à discréditer la recommandation paternelle de Dieu, qui visait le bien, pour suivre l'incantation séduisante de l'ennemi: «La femme vit que le fruit de l'arbre devait être savoureux, qu'il était agréable à regarder et qu'il était désirable» (v.6). Cet épisode biblique révèle donc un fait essentiel pour notre discours: aucune désinformation n'est inoffensive; de fait, se fier à ce qui est faux, produit des conséquences néfastes. Même une distorsion apparemment légère de la vérité peut avoir des effets dangereux. L'enjeu en fait, c'est notre avidité. 

Les fake news deviennent souvent virales, en réalité elles se répandent rapidement et de manière difficilement contrôlable, non pas en raison de la logique de partage qui caractérise les médias sociaux, mais plutôt pour leur emprise sur l'avidité insatiable qui s'allume facilement dans l'être humain. Les mêmes motivations économiques et opportunistes de la désinformation ont leur racine dans la soif du pouvoir, de l'avoir et du plaisir, qui, finalement, nous rend victimes d'un imbroglio beaucoup plus tragique que chacune de ses manifestations singulière: celui du mal, qui se  meut de mensonge en mensonge pour nous voler la liberté du coeur. C'est pourquoi éduquer à la vérité signifie éduquer à discerner, évaluer et pondérer les désirs et les inclinations qui s'agitent en nous, pour ne pas nous retrouver privés de bien «en mordant» à toute tentation. 

3. «LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRES» (JN 8,32) 

La contamination continuelle par un langage trompeur finit en fait par embrumer l'intériorité de la personne. Dostoïevski a écrit quelque chose de remarquable dans ce sens : «Celui qui se ment à soi-même et écoute ses propres mensonges arrive au point de ne plus pouvoir distinguer la vérité ni en soi ni autour de soi ; ainsi il commence à ne plus avoir l'estime de soi ni des autres. Ensuite, n'ayant plus l'estime de personne il cesse aussi d'aimer, et alors en manque d'amour, pour se sentir occupé et se distraire, ils'adonne aux passions et aux plaisirs vulgaires ; et dans ses vices il va jusqu'à la bestialité ; et tout cela dérive du mensonge continuel aux autres et à soi-même.» (Les frères Karamazov, II, 2). 

Comment nous défendre? 

L'antidote le plus radical au virus du mensonge est de se laisser purifier par la vérité. Dans la vision chrétienne, la vérité n'est pas seulement une réalité conceptuelle, qui concerne le jugement sur les choses, les définissant vraies ou fausses. La vérité ne consiste pas seulement à porter à la lumière des choses obscures, à"dévoiler la réalité", comme l'ancien terme grec qui le désigne, aletheia (de a-lethès, "non caché"), conduit à penser. 

La vérité a à voir avec la vie entière.  

Dans la Bible, la notion porte en soi le sens de soutien, de solidité, de confiance, comme le donne à comprendre la racine 'aman, dont provient également l'Amen liturgique. La vérité est ce sur quoi l'on peut s'appuyer pour ne pas tomber. Dans ce sens relationnel, le seul vraiment fiable et digne de confiance, sur lequel on peut compter, et qui est «vrai», est le Dieu vivant. 

Et c'est l'affirmation de Jésus: «Je suis la vérité» (Jn.14,6). 

L'homme, alors, découvre et redécouvre la vérité quand il en fait l'expérience en lui-même comme fidélité et fiabilité de celui qui l'aime. C'est seulement cela qui libère l'homme : "La vérité vous rendra libres" (Jn 8,32). Libération du mensonge et recherche de la relation: voici les deux ingrédients qui ne peuvent pas manquer pour que nos paroles et nos gestes soient vrais, authentiques, fiables. 

Pour discerner la vérité, il est nécessaire d'examiner ce qui favorise la communion et promeut le bien et ce qui, au contraire, tend à isoler, diviser et opposer. La vérité, par conséquent, ne s'acquiert pas vraiment quand elle est imposée comme quelque chose d'extrinsèque et d'impersonnel; elle découle au contraire de relations libres entre les personnes, de l'écoute réciproque.  

En outre, on ne cesse jamais de chercher la vérité, parce que quelque chose de faux peut toujours s'insinuer, même en disant des choses vraies. Un argument impeccable peut en fait reposer sur des faits indéniables,mais s'il est utilisé pour blesser quelqu'un et pour le discréditer aux yeux des autres, aussi juste qu'il apparaisse, il n'est pas habité par la vérité. 

A partir des fruits, nous pouvons distinguer la vérité des énoncés: s'ils suscitent la controverse, fomentent les divisions, insufflent la résignation ou si, au contraire, ils conduisent à une réflexion consciente et mûre, au dialogue constructif, à une dynamique fructueuse. 

4. LA PAIX EST LA VRAIE NOUVELLE

Le meilleur antidote contre les faussetés, ce ne sont pas les stratégies, mais les personnes: des personnes qui, libres de l'avidité,sont prêtes à l'écoute et à travers l'effort d'un dialogue sincère laissent émerger la vérité ; des personnes qui, attirées par le bien, se sentent responsables dans l'utilisation du langage.  

Si la façon de sortir de la propagation de la désinformation est la responsabilité, cela concerne particulièrement celui qui est responsable par devoir d'informer, c'est-à-dire le journaliste, gardien des nouvelles. Celui-ci, dans le monde contemporain, n'exerce pas seulement un métier, mais une véritable mission. Il a la tâche, dans la frénésie des nouvelles et dans le tourbillon des scoop, de rappeler qu'au centre des informations ce n'est pas la rapidité dans la transmission et l'impact sur l'audience, mais ce sont les personnes.

Informer c'est former, c'est avoir affaire avec la vie des personnes. C'est pourquoi, l'exactitude des sources et le soin de la communication sont de véritables processus de développement du bien, qui génèrent la confiance et ouvrent des voies de communion et de paix. 

Je voudrais donc adresser une invitation à promouvoir un journalisme de paix, n'ayant toutefois pas l'intention avec cette expression d'évoquer un journalisme «débonnaire» qui nie l'existence de graves problèmes et assume des tonalités mielleuses. J'entends, au contraire, un journalisme sans duperies, hostile aux faussetés, aux slogans à effet et aux déclarations emphatiques; un journalisme fait par des personnes pour les personnes, et qui se comprenne comme un service à toutes les personnes, spécialement à celles-là - Qui sont la majorité au monde - qui n'ont pas de voix; un journalisme qui ne brûle pas les nouvelles, mais qui s'engage dans la recherche des véritables causes des conflits, pour en favoriser la compréhension à partir des racines et le dépassement à travers la mise en route de processus vertueux; un journalisme engagé à indiquer des solutions alternatives à l'escalade de la clameur et de la violence verbale. 

C'est pourquoi, nous inspirant d'une prière franciscaine,nous pourrions ainsi nous adresser à la Vérité en personne: 

Seigneur, fais de nous des instruments de ta paix. Fais-nous reconnaître le mal qui s'insinue dans une communication qui ne crée pas la communion. Rends-nous capables d'ôter le venin de nos jugements. Aide-nous à parler des autres comme de frères et de soeurs. 

Tu es fidèle et digne de confiance; fais que nos paroles soient des semences de bien pour le monde: 
Là où il y a de la rumeur, que nous pratiquions l'écoute; 
Là où il y a confusion,que nous inspirions l'harmonie; 
Là où il y a ambiguïté, que nous apportions la clarté; 
Là où il y a exclusion, que nous apportions le partage; 
Là où il y a du sensationnalisme, que nous usions de la sobriété; 
Là où il y a de la superficialité, que nous posions les vraies questions; 
Là où il y a des préjugés, que nous suscitions la confiance; 
Là où il y a agressivité, que nous apportions le respect; 
Là où il y a la fausseté, que nous apportions la vérité.
Amen. 
Pape François
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Horaire des Messes
I. VICARIAT DE SAINT MICHEL
1. PAROISSE CATHÉDRALE REGINA MUNDI
A. Messes
Samedi : 17h00 (en Français)
Dimanche : 6h00 (en Kirundi),  7h00 (en Kirundi),  8h15 (en Français),  10h00 (en Kirundi),  12h00 (parfois, possibilité d'une messe circonstancielle, en Kirundi), 17h00 (en Français)
B. Adoration
Mardi : toute la journée, à la Chapelle
Jeudi : toute la journée, à la Chapelle
Samedi : 6h45 à 8h00
2. PAROISSE SAINT MICHEL
A. Messes
Samedi : 17h00
Dimanche : 06h15, 08h00, 10h00, 12h00 Kiswahili, 17h00
B. Adoration
Jeudi : toute la journée
3. PAROISSE BUYENZI
A. Messes
6h00 (en Kirundi), 8h00 (en Kiswahili), 10h30 (en Kirundi), 16h30 (en Kirundi)
B. Adoration
Mercredi : 17h30
4. PAROISSE KANYOSHA
A. Messes
6h00, 7h45, 9h30 (Français), 11h15 et 16h00
B. Adoration
Jeudi : 18h00
Dimanche : 13h00 à 16h00
Premier vendredi du mois : toute la journée
5. PAROISSE KININDO
A. Messes
6h00, 7h30, 8h45, 10h30, 17h30
B. Adoration
Jeudi, toute la journée
6. PAROISSE MUSAGA
A. Messes
Samedi : 17h00
Dimanche : 6h10, 08h00, 10h30, 16h30
B. Adoration
Mardi : 12h00 à 16h00
Jeudi : 15h00 à 16h00
Vendredi : 12h00 à 14h00
7. PAROISSE NYAKABIGA
A. Messes
Samedi : 17h30
Dimanche: 6h00 (en Kirundi), 8h00 (en Kiswahili), 10h00 (en Kirundi), 17h00 (en Kirundi)
B. Adoration
Du lundi à vendredi : 7h00 à 16h45
8. PAROISSE RUZIBA
A. Messes
6h30, 8h30, 10h30, 16h30
B. Adoration
Jeudi 15h et le 1er vendredi du mois
9. PAROISSE MUTANGA SUD
A. Messes
6h15, 08h15, 10h30, 17h00
Campus Mutanga : messe à 11h (en kirundi et en français alternativement)
B. Adoration
Mardi : toute la journée après la messe de 6h00
II. VICARIAT DE GIHOSHA
1. PAROISSE GIHOSHA
Messes de la semaine
Lundi - Samedi : 06h30
Dimanche : 6h00, 10h30, 16h00 ( en Kirundi) 08h15 en Français
Lundi à 18h00, messe en Français, suivie de l'adoration, jusqu'à 19h00.
Vendredi : Adoration à 17h30, suivie de l'Eucharistie en Français, à 18h30
2. PAROISSE BUTERERE
A. Messes
6h00, 8h00, 10h00, 16h30
B. Adoration
Jeudi : 15h00 à 17h15
Samedi : 5h30 à 6h20
3. PAROISSE GATUMBA
A. Messes
6h30, 8h30, 10h30
B. Adoration
Jeudi : 7h00 à 8h00
Deuxième lundi du mois : 17h30 à 19h00
4. PAROISSE KAMENGE
Messes
6h, 7h30, 9h00 (swahili),10h30,16h30
Gatunguru : 9h30
Nyabagere : 9h30
Muberure : 8h00, 10h00
Nyambuye : 8h00, 10h00
Gishingano : 8h00, 10h00
Buhayira : 9h30
Mbirira : 8h00
Adoration à la Paroisse
Jeudi 16h30 un jour par mois
5. PAROISSE KINAMA
A. Messes
06h00 (en Kirundi), 08h00(en Kiswahili), 10h00 (en Kirundi), 16h00 (en Kirundi)
Gahahe-Carama (en Kirundi) : 07h00 et 09h30
Gasenyi (en Kirundi) : 09h00
B. Adoration
Lundi à samedi de 7h00 à 19h00
6. PAROISSE NGAGARA
A. Messes
Samedi : 17h30
Dimanche: 6h00, 08h00, 10h00, 17h00
B. Adoration
Jeudi : 17h00 à 17h30
AUMONERIES ET CHAPELLES
1. PAROISSE CHRIST-ROI (AUMONERIE MILITAIRE)
A. Messes
8h15, 10h30
B. Adoration
-
2. AUMONERIE DE LA POLICE
A. Messes
API : 7h30 et 10h30
Socarti : 7h30, 10h30
Ex ENAPO : 8H30
1er GMIR (Buyenzi) : 10h30
2ème GMIR (Kanyosha) : 10h30
Socarti : Adoration, 1er mercredi du mois
3. CENTRE JEUNES KAMENGE
Messe
10h30 en français
4. SANCTUAIRE MONT SION GIKUNGU
Messes
6h00, 8h00,10h00 et 16h00
Adoration
Lundi à vendredi à partir de 7h00 jusqu'à 21h30
Dimanche de 13h00 à 18h00
4. PETIT SEMINAIRE KANYOSHA
Messe
Messe des séminaristes : 6h45
1ère Messe des fidèles : 8h30
2ème Messe des fidèles : 10h15
Adoration
Adoration du Saint Sacrement par les séminaristes et autres fidèles qui veulent : Dimanche à 18h15 à 19h00
III. VICARIAT DE BUHONGA
1. PAROISSE BUHONGA
A. Messes
Samedi : 12h00
Dimanche : 7h30, 10h00
B. Adoration
Jeudi : 7h30 à 8h30
Jeudi de la troisième semaine du mois : toute la journée
2. PAROISSE JENDA
A. Messes
Samedi : 12h00
Dimanche, 7h45, 10h00, 16h00
B. Adoration
Jeudi : toute la journée après la messe de 7h15
3. PAROISSE KARINZI
A. Messes
7h30, 10h00
B. Adoration
Du lundi au samedi : 6h00 à 6h30
4. PAROISSE MAGARA
A. Messes
7h30, 10h00
B. Adoration
Dimanche : 7h00 à 7h30
5. PAROISSE MATARA
A. Messes
7h30, 10h00
B. Adoration
Jeudi : 15h00
6. PAROISSE MAYUYU
A. Messes
8h00, 11h00
B. Adoration
Vendredi : 8h00 à 17h00
7. PAROISSE MUBIMBI
A. Messe
7h30, 10h00
B. Adoration
Jeudi : 8h00 à 10h00
8. PAROISSE MUTUMBA
Messes
7h30 et 10h00
Adoration
Jeudi à 14h00 sauf le 1er vendredi du mois (7h30)
9. PAROISSE RUGAZI
A. Messes
7h30, 10h30
Jeudi : 15h00
B. Adoration
Jeudi : 8h00
10. PAROISSE RUSHUBI
A. Messes
7h30, 10h00
B. Adoration
Jeudi : 8h00
11. PAROISSE RUTONGO
A. Messes
7h30; 10h00
B. Adoration
-
IV. VICARIAT DE MURAMVYA
1. PAROISSE BUKEYE
A. Messes
Samedi : 16h00
Dimanche : 6h00 , 7h40, 9h30, 11h30
B. Adoration
Jeudi : 7h10 à 19h00
2. PAROISSE BUKWAVU
A. Messes
7h30, 10h00
B. Adoration
Jeudi : 14h00 à 15h00
3. PAROISSE BUZIRACANDA
A. Messes
Samedi : 12h00
Dimanche : 7h30, 10h00
Mercredi : 17h30 (Messe en Français)
B. Adoration
Jeudi : 16h00
Dimanche : 13h00
5.PAROISSE GASURA
4. PAROISSE KIGANDA
A. Messes
Samedi : 11h00
 Lycee: 16h00
Dimanche : 7h00, 9h00, 11h00
B. Adoration
Jeudi : 16h00
Dimanche : 13h00
5. PAROISSE KIVOGA
A. Messes
6h30, 8h30, 10h30, 12h30
B. Adoration
Jeudi : après la messe de 6h30
6. PAROISSE MUNANIRA
A. Messes
Samedi : 12h00
Dimanche : 7h15, 10h00
B. Adoration
Jeudi : 7h30 à 18h00
Premier vendredi du mois : 7h30 à 12h00
7. PAROISSE MURAMVYA
A. Messes
7h00, 8h30, 10h30
B. Adoration
Jeudi : toute la journée
8. PAROISSE RYARUSERA
A. Messes
8h00, 10h15
B. Adoration
Jeudi : après la messe de 6h30
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